Les hackers représentent au départ une classe élite de la société. De plus leurs façon de pensé est structuré afin de trouvé des solutions non conventionnel aux problème et obstacle qui leurs sont soumis. C’est cette capacité innée ou acquise qui permet d'analyser chaque système qui compose la société (ie : système politique, système économique, système judiciaire etc) et trouver les méthodes qui permettrons de les exploités. Les hackers recherches les zones grise qui peuvent être interprété et utilisé.
Bien que le terme hacker soit très récent, il fait appel à certain concept qui eux sont millénaire. Nous allons dresser un tableau rapide des théories et philosophie qui à travers les siècles on permis la formation avec l’arrivé de l’ère informatique de ce que nous avons défini comme étant l’esprit du hacker.
Sun Tzu : Il serait impossible de ne pas considérer sun tzu dans le bagage historique du hacker.
- Connaître sont ennemie
- Être en contrôle du terrain
- Mobilité
- Communication
- Subterfuge et Subversion
- Attaquer le ou les points faibles
Ce sont tous des concepts énoncés par Sun Tzu dans l’art de la guerre qui sont totalement intégré dans la mentalité fondamental du hacker. Les bases de la morale du hacker trouve aussi leurs racine dans l’enseignement de Sun tzu. Ce n’est n’y la gloire, n’y l’ego qui doivent dictée les décisions, mais l’atteinte de l’objectif final ; la Victoire.
Sophistes : Les sophistes sont à la base d’une des techniques fondamentales du hacking, le social-engineering. L’art de convaincre quelqu’un de faire ce que l’ont souhaite sans qu’il ne s’en rendre compte. Les sophistes on perfectionné l’art de convaincre par le dialecte. Peu importe la vérité ce qui compte est d’avoir raison.
Ninja/Samouraï : Les hackers se comparent souvent à ces personnages historiques car comme eux ils partagent le sens de l’élitisme, de la perfection dans l’application de leur art. Tout comme les ninjas, les hackers agissent dans l’ombre. Tout comme les samouraïs, les hackers on un très grand respect pour leurs semblables, qu’ils soient allier ou ennemies. De plus chacun partage les bases d’un code d’éthique semblable, ou la moralité de l’acte commis se trouve dans la raison qui la motive.
Socrate : À première vue, il ne semble pas y avoir de lien entre le père de la philosophie et les hackers. La raison pour laquelle le lien semble nébuleux c’est que l’ensemble de la société moderne à pour base la pensé critique et rationnel défendu par Socrate. Un hacker pour être talentueux se doit de développer un esprit d’analyse des plus performants. De plus les hackers on très bien apprit une des leçons fondamental de Socrate ; Il est important de savoir que nous ne savons pas, autrement dit de pouvoir reconnaître que nous ne savons pas tout. Cette connaissance en est une à double sens. Car le hacker sachant l’étendu de tout ce qu’il ne sait pas fera les efforts pour en apprendre toujours plus afin d’améliorer sont niveau d’efficacité. D’un autre côté le hacker est conscient que l’ignorance de ses adversaires peut être utilisée contre eux, surtout contre ceux qui ignores ce qu’ils ne savent pas. Il s’agit la d’une des leçons les plus fondamentales du social engineering. Il est beaucoup plus facile d’influencer les esprits faibles ;)
Épicure : Le plaisir étant une source de motivation puissante pour la plus part des gens, il en va de même pour les hackers. La volonté qui pousse le hacker à utiliser ses compétences afin de se facilité l’existence est en symbiose avec la conception épicurienne du bien être. Les hackers l’habitude de créer script et programme qui effectuerons des tâches répétitives qui lui permettrons d’économiser du temps qu’il pourra réinvestir dans des projets plus payant ou pour se divertir.
Darwin : En s’inspirant des principes de la sélection naturelle appliquée à la société moderne nous arrivons à la conclusion que le hacker se trouve au sommet de la pyramide. Dans un monde ou la technologie prend de plus en plus d’importance le hacker est celui qui s’adapte le mieux aux changements, voir même plus souvent qu’autrement il adapte les changements à ses besoins. Il devrait en resté ainsi jusqu’au prochain changement de paradigme sociétaire.
Pirates : les pirates représentent le côté dark side des hackers. il est en effet facile de faire des liens entre le fait de s’infiltrer dans un système informatique ou d’aborder un vaisseau dans le but de prendre un butin. C’est souvent cette facette du hacker qui est présenté aux gens ordinaire, via les média de masse et hollywood. De plus le fait que le drapeau pirate ayant été adopté très tôt dans la culture des hackers contribue fortement a renforcé cette impression. Les repaires secret des pirates on aussi beaucoup inspirer les hackers, qui non pas hésité à installer des serveurs dans des pays sous-développés et aux lois permissive afin d’exploité et d’échanger des ressources et des informations qui pourrait être considérer illégal sous d’autre juridiction.
Nietzsche : La volonté de puissance, le surhomme, la généalogie de la morale. Autant de texte et de principe avancé par Nietzsche que les hackers on endossé et absorbé. Le dépassement de soit pour aller plus loin, plus haut que la masse. Dissocié bon et bien, mal et mauvais. Le hacker à donc tendance à penser en termes d’efficacité, de performance. Il se demande rarement si sont acte est morale mais plutôt si il est pertinent. Il est certain que le fait que le hacker inter agis principalement avec des machines sans âme facilite cet état de pensé. Il n’est pas sur que la position des hackers serait aussi radicale dans ses concepts si il faisait plutôt affaire avec des humains que des machines, mais en général les hackers interprète les humains comme des machines en se servant de la psychologie comme un code qui permet de lancer des exploits dans le cerveau des gens. Le terme social engineering en dit long sur la perception en général qu’on les hackers sur leurs semblable qui sont demeurer dans le troupeau.
Maslow : tout le monde a des besoins à combler, les hackers aussi. En regardant la plus que célèbre pyramide des besoins de Maslow nous sommes a même de définir que bon nombre de ses besoins se retrouver combler directement ou indirectement, complètement ou partiellement. Beaucoup de hacker peuvent exploiter leur talent contre rémunération en se déguisant en consultant en sécurité. Comme il s’agit de job bien rémunéré les besoins de base se retrouve sécurisé. Les hackers ingénieux utiliserons leur talent pour déniché une conjointe sur les réseau sociaux ou au pire quelque baise pour combler des besoins un peu plus primaires ;) . Le sentiment de puissance qui peut venir avec le hacking peu propulsé l’estime d’un nerd bafouer a un ego trip impressionnant. Bien que les extrêmes ne soit jamais idéal, on aura tendance a dire que mieux vaut quelqu’un « qui s’la pete » que quelqu’un qui déprime jusqu’au suicide. Le plus intéressant se trouve au sommet de la pyramide au niveau de l’accomplissement personnel. Car pour être un bon hacker vous devez être créatif, avoir la capacité de résoudre des problèmes et souvent dans le moment présent.
Hackers : Le hacker représente la somme de toute ses philosophies actualisé dans un monde ou la technologie et les communications sont au centre de la vie de tout les jours, autant au niveau social que professionnel. Ils représentent l’élite urbaine de l’évolution. À la fois scientifique et sur le terrain, mieux adapté que ses pairs au monde qui l’entoure. L’archétype du hacker nous semble être celui le plus à même de rassembler et d’inspirer les acteurs de la prochaine grande révolution mondiale.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire