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dimanche 25 mars 2012

Corpus info-sec, my 2 cent


        Dans l’article sur Anonymous parut sur le blog du Hackfest. La question suivante était lancer; que devrait être le corpus de connaissance minimale que tout professionnel de sécurité informatique devrait posséder ? J’ai vous vous en doutez, sinon quel serait la pertinence de se papier, quelques opinions à ce sujet.

        En premier lieu examinons la question, pour ce faire ramenons le dans sont contexte. L’auteur nous dépeint une situation ou il est renversé par le fait que beaucoup de professionnel de la sécurité ne connaissent pas Anonymous le groupe underground de l’heure. Surprise que je partage aussi d’ailleurs car Anonymous ont fait parlé d’eux a plusieurs reprise dans les dernières années jusque dans les médias traditionnel (tv, radio, journaux, bouche à oreille, signaux de fumée, etc). Alors si votre grand-mère à la possibilité d’avoir entendu parler d’Anonymous on peut dès lors se questionner sur la volonté de resté à jours d’un professionnel de la sécurité.

        À la lumière de cette mise en contexte, nous pouvons comprendre que la question de l’auteur sous entendait par connaissance minimale, une certaine place laissez à l’underground, la contre-culture et l’historique du hacking. Donc serait-il pertinent d’inclure dans la formation de nos professionnel en sécurité informatique des connaissances sur Phrack, The Cult of the Dead Cow, Kevin Mitnick, The hacker manifesto, Anonymous, Lulzsec, Antisec, et autre groupe d’importance mondiale ou locale auquel ils devront vraisemblablement être confronté durant leurs carrières.

        Sun Tzu disait dans l’art de la guerre, que de posséder le maximum d’information sur sont ennemi était essentiel pour le maitriser. Donc en suivant cette logique, la réponse serait définitivement oui. Par contre deux facteurs sont à prendre en compte afin de nuancer cette évidence.

·         Le domaine de la sécurité informatique ne comprend pas de volet, contre-attaque n’y de maitrise de l’adversaire. Il doit se limiter pour des raisons légales (dans la plus part des pays civilisés). Les professionnels de la sécurité doivent donc ainsi se contenté de bâtir des murs et de monté des forteresses technologique et espérer que personne ne réussira à s’y creusé un trou pour rentré.
·         Confiné à l’unique rôle de défenseur, l’ennemi devient l’exploit, le DoS ou la technique utilisée pour by-passer les protections, le hacker ne devient qu’un vecteur. En voyant les réalités sous cet angle, le professionnel de la sécurité se devra de connaitre les différents exploits plus que le nom de ceux qui les expédie. Dans cette optique on peu considérer que les formations pour nos professionnels y sont tout à fait adapter.

Si la sécurité informatique n’aurait qua se limiter à faire des matchs entre des versions de software et des listes d’exploit, connaitre le nom et l’historique des principaux groupe n’aurait aucun autre intérêt que de servir les connaissances générale du professionnel de la sécurité. Cependant, l’ingéniosité des hackers ne se défini pas par des règles pré établie. Ceux-ci feront preuve de beaucoup d’imagination pour arriver à leurs fins, donc des connaissances sur la contre-culture et l’underground informatique aideront le professionnel de la sécurité à se faire une idée sur la façon dont les hackers peuvent réfléchir et posséder une maitrise de « l’esprit du hacker » permettra de pousser la sécurité d’un serveur au-delà des pentest standardisé. Permettra de détecter des failles de logique, ou même de prévoir des filets protecteurs en cas de brèche causé par le facteur humain. Le facteur humain étant impossible à patcher avec du code, et demande des compétences social que bien peu de professionnel en sécurité maitrise.

Pour ces raisons je crois qu’il serait pertinent que les professionnels de la sécurité soit à tout le moins briefé sur la psychologie des hackers. D’un côté plus ludique, ces connaissances aiderais aussi à combler le faussé qui se creuse de plus en plus entre les professionnels de la sécurité et l’alma mater underground dont ceux-ci émerge.

Cette article fait parti de la série, réplique à l’article sur anonymous parut sur le blog du hackfest. Vous pouvez lire les 3 autres articles reliés  ici.

·         Anonymwho’ s

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